Écho 5 de la conversation
Depuis plusieurs décennies, les neurosciences occupent une place centrale dans la compréhension du fonctionnement cérébral. Elles ont permis des avancées considérables dans des domaines comme les maladies neurodégénératives ou certains cancers. Pourtant, lorsqu’il s’agit des troubles psychiques, le constat est beaucoup plus nuancé. En effet, François Gonon [1] indique que ces approches restent largement décevantes : absence de biomarqueurs, efficacité limitée des traitements et par...